Dieu, Elohim et les extraterrestres
LE CODE DE GLADIO – DIEU, ELOHIM et LES ET’s
J’ai fait une
découverte très
intéressante
ce matin, 10 octobre 2019. C’est le texte, libre de droit,
ci-dessous. C’est une très bonne étude sur la signification de
« Dieu » dans les textes anciens. Ce qui me surprend,
c’est que les textes hébraïques
anciens
répondent à mes questions aujourd’hui et notamment à celle
de l’immense
difficulté d’associer Dieu aux extraterrestres.
En effet, vous savez qu’actuellement, je termine souvent mes
rapports et conclusions en disant :
- Les armes à énergie dirigées et le contrôle mental ne sont pas des armes humaines. L’homme ne dispose pas de ces technologies.
- Ces technologies sont donc extraterrestres et cela explique pourquoi des ovnis ont été photographiés et filmés dans l’œil des ouragans, ou au-dessus des volcans qui se rallument, ou de Notre Dame alors qu’elle brûlait, etc.
- Oui, mais on dit aussi, que seul Dieu peut influencer les forces de la nature, tel que rallumer des volcans ou créer des tremblements de terre etc.
- Et c’est aussi seul Dieu, qui peut voir ce que nous faisons tout au long de notre vie et c’est à l’heure de notre mort, que nous recevons la vision de l’ensemble de notre vie, et ce, même si on est aveugle de naissance. Je parle alors notamment du contrôle mental dont je suis un très gros exemple.
- En conclusion de quoi, je dis que les extraterrestres ont un lien direct avec Dieu. Certains prennent alors cela pour de l’hérésie et pourtant !
Voici ce que j’ai découvert, dans cet article ci-dessous et qui me
semble sérieux. En outre, ce que cet article décrit l’est aussi
dans Wikipedia, avec les mêmes extraits
https://fr.wikipedia.org/wiki/Elohim.
L’un des textes bibliques les plus anciens est la Bible juive, à
l’époque de Moïse. Dans celle-ci, il n’est évidemment pas
écrit Dieu, ni God. Les Juifs utilisent deux mots pour parler de
Dieu. Le plus courant, répété plus de 2000 fois, est « Elohim »,
qui signifie, d’après cette source, « qui vient du ciel ».
Oui, mais « Elohim » est la forme plurielle du mot
« Eloha ». Donc, littéralement, cela devient « Ceux
qui viennent du ciel » ! Donc, quand ils parlent de Dieu,
ils parlent de ceux qui viennent du ciel.
La religion juive utilise un autre mot pour parler de Dieu, c’est
« Adonaï ». Mais ce mot est aussi au pluriel ! Et
il signifie « Mes seigneurs ».
Le même article ci-dessous démontre, au travers de textes repris de
la Bible juive, que « Elohim » est régulièrement décrit
comme un peuple, qui nous ressemble, mais qui vient des cieux. Ils
montent des échelles vers le ciel et ils s’intéressent aux filles
humaines, qu’ils prennent pour compagne. Autrement dit, les
« Elohim » (ce qui est redondant, « Elohim »
étant déjà au pluriel), ou fils d’« Elohim » nous
ressemblent. Cela a d’ailleurs été attesté par des témoignages
de certaines rencontres ET.
Dans la religion chrétienne, Dieu est au singulier, alors que
manifestement, Dieu, ne pourrait, être seul, à décider du destin
de toute âme. C’est impossible, mais on le met quand même au
singulier. Pourquoi cette tromperie datant de l’origine de la
religion chrétienne ? L’usage d’un Dieu au pluriel, comme
le font les Juifs, nous aurait-il mener à mettre en doute,
l’existence d’un Dieu unique ?
Mieux encore, Dieu dans la religion juive, « Elohim »,
« Ceux qui viennent du ciel », viennent du ciel, y
repartent, voire avec des femmes humaines. Mais Dieu dans la religion
chrétienne, ne fait rien de tout cela. Il reste dans les cieux et
envoie ses prophètes. Les Juifs, les Musulmans et les Chrétiens
sont pourtant d’accord. Ils parlent tous du même Dieu, mais
visiblement, il est très différent d’une religion à l’autre.
Cependant, une chose est certaine, c’est que dans la religion
chrétienne, Dieu n’a aucune matérialité et il est au singulier
et non au pluriel. Parle-t-on réellement du même, ou la religion
chrétienne a-t-elle dès le départ faussé toutes les cartes ?
Wikipedia mentionne d’ailleurs que les traductions en latin des
textes qui étaient en hébreux au départ, sont approximatives,
voire faussées. Il y a vraiment de quoi s’interroger, sur
l’origine de nos religions.
En fait, je me rends compte que depuis ma naissance, je crois plus en
« Elohim », qu’en un seul être divin appelé Dieu.
Depuis toujours, j’associe Dieu à une communauté qui a créé
notre terre et notre espèce à son image. Sans savoir pourquoi,
j’étais d’ailleurs intéressé aux ET, dès mon plus jeune âge.
Je ne peux que constater que les textes hébraïques anciens, vont
exactement dans le même sens. Lorsque je dis que je crois en Dieu,
car je sais qui Il est vraiment, je sais maintenant que d’autres
avaient la même perception, il y a plus de 2000 ans.
Marc Delantre
https://www.facebook.com/marc.delantre.3
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J’ai vraiment besoin de votre aide
MERCI !
Article source
La Bible est, pour les juifs, le livre sacré
que Moïse reçut sur le Mont Sinaï des mains de Dieu. Elle relate
la manière dont la terre a été " créée ", et ce qui
est arrivé, depuis lors, à l'humanité, au fil des générations.
Dieu y est toujours présent.
Dieu, ou plus exactement ELOHIM, dans le texte
hébreu.
Que signifie donc ce mot que les commentateurs
de la Bible nous ont accoutumé à traduire en français par "
Dieu ", au singulier, alors que le mot hébreu Elohim est un
pluriel. C'est le pluriel de " Eloha " : " celui qui
vient du ciel ", " le Céleste ", "
l'extraterrestre"
Elohim signifie donc : " ceux qui viennent
du ciel ", " les Célestes ", " les
extraterrestres (Extérieur à l'atmosphère terrestre, habitant
supposé d'une autre planète). "
Parfois le texte hébreu utilise le mot "
Adonaï ", à la place de " Elohim ". Et les exégètes
de la Bible traduisent encore " adonaï " par Dieu, ou par
Seigneur. Ce qui est étrange, c'est que le mot adonaï est, aussi un
pluriel ! Il dérive de " adon " : Seigneur. En hébreu, le
possessif de adon est au singulier : " adoni " , qui
signifie " Monseigneur " ; et le possessif pluriel "
adonaï " veut dire " Messeigneurs ".
Il est vraiment curieux que les Hébreux - seul
peuple monothéiste de l'antiquité, aient choisi deux pluriels pour
désigner leur Dieu Unique !
On nous dit qu'il s'agit de pluriel de majesté.
Absolument pas ! (Il faut se rappeler, que le pluriel de majesté, de
politesse, n'existe pas en hébreu.)
Car le texte en hébreu utilise aussi parfois :
" IHVH ", dont les traducteurs ont tiré " Iavéh ",
ou encore " Jéhova ". Or, " IHVH " n'est pas un
mot en hébreu, mais un sigle comme en français " CFF " ou
" SNCF ".
IHVH sont les lettres principales de quatre
mots hébreux :
" Aïa, hové, ve iéhié ", I - H -
V - H, qui signifient : " Il a été - Il est - Et - Il sera ",
c'est le symbole de l'Eternité.
Pour ne pas s'embarrasser de complications, les
traducteurs de la Bible,
chrétiens et juifs, nous restituent les trois
expressions hébraïques :
" IHVH ", " Adonaï ", "
Elohim ",
Sous une forme unique en français : Dieu
Est-il bien certain que ces trois expressions
soient synonymes ?
Une traduction plus précise de la Bible permet
d'en douter.
En effet, quand les traducteurs de la Bible
nous parlent de " la Genèse ", " de la création ",
(que le texte hébreu appelle plus modestement : " beréshit ",
" le Commencement ") - ils nous disent :
" La terre était désert et désolation,
L'obscurité régnait sur la face de l'abîme,
Et l'esprit de Dieu planait sur les eaux "
(Genèse 1,2)
En hébreu :
Ve ha-arets aïéta tohou va-bohou
Ve toshékhé al-pnéï téhom
Ve rouah Elohim merakhéfet al-pnéï ha-mahim
C'est une très belle image, très poétique,
cet esprit de Dieu qui plane sur les eaux…….Mais le texte en
hébreu se contente de dire :
"Ve rouah Elohim merakhéfet al-pnéï
ha-mahim ".
Rouah, c'est le vent ! Et le verbe merakhéfet
signifie : trembler, s'agiter. De sorte qu'au lieu de : Et l'esprit
de Dieu planait sur les eaux , nous obtenons " Et le vent des
Elohim s'agitait sur la surface de l'eau ". On le voit, nous
sommes loin du calme d'un esprit immatériel planant à la surface
d'une eau tranquille. Il semble bien que nous soyons plutôt en
présence d'un objet, (engin, OVNI, Hélicoptère) qui ce déplace
dans les airs, et dont le souffle, le vent qu'il provoque, fait
s'agiter la surface de l'eau.
On est confondu devant l'acharnement que
mettent les exégètes de la Bible, de toutes les confessions, à
traduire le mot hébreu " Elohim " qui est un pluriel, par
Dieu au singulier, alors que cependant la Bible, dès le début et
jusqu'à la fin, ne fait nul mystère de la " pluralité "
des Elohim. Lorsque Adam et Eve sont chassés du jardin d'Eden, le
Paradis Terrestre, que dit Elohim ?….
Voici l'homme devenu comme l'un de nous !
(Genèse 3, 22).
En hébreu : Hen ha-Adam aya ké akhad miménou
!
A qui s'adresse t-il sinon à d'autres Elohim ?
Car il n'a pas dit, se parlant à lui-même : Voici l'homme devenu
pareil à moi ! Non plus que : …. Pareil à Nous, s'il avait
employé un pluriel de majesté ( Il faut se rappeler que le pluriel
de majesté, de politesse, n'existe pas en hébreu). . Il a bel et
bien dit : …..comme l'un de nous.
Mais il y a mieux !
Trois chapitres à peine plus loin, la bible
nous dit : Lorsque les hommes commencèrent d'être nombreux sur la
surface de la terre , et que des filles leur furent nées, les "
b'néï Elohim " trouvèrent que des filles des hommes leur
convenaient et ils prirent pour femmes toutes celles qui leur plurent
(Genèse 6, 1-22).
Le texte hébreu dit : " b'néï Elohim ",
que la Bible catholique traduit par : les fils de Dieu, la Bible
Rabbinat traduit par : les fils de la race divine et la version
américaine, du culte protestant, les fils du vrai Dieu. Aucune des
trois traductions ne marque le moindre étonnement devant cette
mention de fils de Dieu, fils de race divine, ou fils du vrai Dieu,
qui apparaît pour la première fois dans le texte sacré. Et c'est,
cependant, la première entorse , et de quelle taille, à la thèse
du Dieu Un ! Par cette traduction, catholique, juifs et protestants
concèdent donc, et comment pourraient-ils faire autrement, que ce
qu'ils ont eu tort de traduire par Dieu, et qui en hébreu,
s'appellent Elohim, n'est pas seul et unique de son espèce.
IL y a - nous avons vu -, des Elohim, des fils
d'Elohim, et donc aussi des femmes d'Elohim. Les Elohim s'accouplent
et donnent naissance à des enfants. Mieux encore ! Les Elohim, les
fils d'Elohim, ne sont pas insensibles à la beauté des filles des
hommes, ce qui prouve que leurs goûts sont semblables aux nôtres !
Et les accouplements entre les Elohim et les femmes de notre planète
sont possibles, nous dit la bible, et sans aucun doute féconds. La
plupart des religions de l'antiquité mentionnent, d'ailleurs,
expressément l'existence de ces demi-dieux, fils d'une femme
fécondée par un Eloha.
De la pluralité des Elohim, la Bible nous
donne bien d'autres exemples. Entre autres, lorsqu'elle nous raconte
l'entrevue entre Avram et les Elohim venus détruire Sodome :
Avram était assis à l'entrée de sa tente au
plus chaud de la journée. Levant les yeux il vit trois hommes
(Shelosha anashim). Il courut à eux et se prosterna contre terre. Et
il dit : Adonaï (Messeigneurs), si j'ai trouvé grâce à tes yeux,
ne passe pas ainsi devant ton serviteur ! Qu'on aille chercher un peu
d'eau. Lavez vos pieds et reposez-vous sous cet arbre……(Genèse
18, 1-4).
Comme on a pu s'en rendre compte à la lecture
de ce passage les Elohim sont trois : Et Avram ne s'y trompe pas ! Ce
sont bien des Elohim. Il se prosterne devant eux et les appelle
Adonaï, Messeigneurs. Mes Avram considère les trois personnages
comme une seule et même entité, il tutoie l'ensemble ou vouvoie le
groupe indifféremment.
Toutefois, ces Elohim, ces extraterrestres, que
la bible a même appelés " anashim, homme ", ne sont pas
de purs esprits. Après une longue marche ils ont besoin de se
rafraîchir les pieds (on marche en sandales à l'époque biblique),
ils aspirent à se reposer et à se restaurer.
Car Avram ajoute :
Je vais apporter du pain, vous réparerez vos
forces : Et faisant bonne mesure, en plus du pain, il fait préparer
pour ses hôtes un veau tendre et gras, des gâteaux, de la crème et
du lait : (Genèse 18, 5-8). A t'on jamais vu Dieu sensible aux
nourritures terrestres et à la fatigue d'une longue marche ?
Encore quelques chapitres, et la bible nous
décrit la petit fils d'Avram, Jacob, fils d'Isaac, assoupi. Il voit
une échelle plantée en terre dont le sommet atteignait le ciel.
Et qu'aperçoit-il sur cette échelle ? des
Elohim qui montent et qui descendent. (Genèse 28, 2-3) Nous devons
admettre qu'il y a dans la bible, d'une part IHVH, et d'autre part,
les Elohim, les Célestes, les venus du ciel, les extraterrestres,
dont la pluralité est affirmée par le texte sacré lui-même.
Revenons sur ce mot "Elohim", placé
en tête de la première phrase de la Genèse... c'est bien le cas de
dire qu'il est "primordial". Sa forme contractée c'est
"El", son singulier "Eloha" (ou "Eloah")
et "Elohim" lui-même est un pluriel... incontestable,
incontournable, car, dans ce cas, en hébreu le suffixe "im"
ne peut marquer que le pluriel. Il faut se rappeler aussi, que le
pluriel de majesté, de politesse, n'existe pas en hébreu.
C'est tellement vrai que si on disait en hébreu
"les Elohim" on ferait un pléonasme, il faut employer le
mot "Elohim" tout court, sans article "les" le
précédant pour le transformer en pluriel. En hébreu on ne peut pas
non plus dire "les Elohas" pour exprimer qu'on désigne
plus d'un "Eloha", cette tournure n'existe pas, on dit tout
simplement "Elohim", c'est dans ce cas-ci la seule
possibilité d'exprimer un pluriel.
Il suffit, pour en trouver confirmation, de
prendre par exemple le dictionnaire Larousse, édition 1965 ; à la
définition de ce mot on peut lire : "Elohim", mot hébreu
(...) pluriel de el ou eloha ... »!
Ainsi, ce mot pluriel - l'entité centrale de
la Bible - désignant l'entité créatrice (on pourrait dire que ce
mot "nomme" les créateurs), est bel et bien un pluriel
parfaitement défini, qui désigne une entité d'individus
distincts... autrement dit : ce mot "Elohim" désigne un
peuple.
Mais, pourquoi, dans le Christianisme, la
Papauté l'a-t-elle écarté, remplacé par un autre ? Pourquoi les
Institutions Judéo-Chrétiennes ont-elles accepté, elles aussi, que
le sens littéral du terme original soit écarté, remplacé par un
autre sens tout à fait différent, pourquoi donc ?
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